RESTAURATION DES FOURS A CHAUX DE VENDENESSE LES CHAROLLES (SAONE ET LOIRE)

Les fours à chaux de Vendenesse les Charolles (classés Monument Historiques) ont fait l’objet d’une restauration dans le cadre de deux chantiers d’insertion conduits par TREMPLIN Homme et Patrimoine entre 1999 et 2001.
Livrés à l’abandon depuis les années soixante, les fours à chaux de Vendenesse-les-Charolles risquaient de disparaître.
L’Association de Sauvegarde des Fours à Chaux de Vendenesse-les-Charolles et la Commune de Vendenesse-les-Charolles ont alors décidé de les sauver.
Après la réalisation d’un projet de restauration validé par Frédéric DIDIER, architecte en chef des monuments historiques, il a été décidé de confier la réalisation des travaux à l’organisme de formation TREMPLIN Homme et Patrimoine dans le cadre de chantiers d’insertion.
Un premier chantier d’insertion avec 16 bénéficiaires du RMI a permis de mener à bien la restauration des fours à Chaux de Vendenesse-les-Charolles.
Un second chantier d’insertion a conduit à aménager l’accès et les abords et à en assurer la mise en valeur. Un CD ROM sur le métier de chaufournier a été réalisé dans le cadre du chantier d’insertion grâce au concours de M. PINEL, chaufournier à EBREUIL dans l’Allier.
Aujourd’hui les fours à chaux de Vendenesse-les-Charolles sont ouverts au public de juin à septembre.
Ces chantiers d’insertion ont également permis aux participants de se repositionner dans de bonnes conditions sur le marché du travail.
Cette opération a été financée par :
La Direction Départementale du Travail de l’Emploi et de la Formation Professionnelle de Saône-et-Loire (DDTEFP),
Le Conseil Général de Saône-et-Loire,
Le Fonds Social Européen,
La DRAC Bourgogne,
La commune de Vendenesse-les-Charolles.

Les Fours à Chaux de Vendenesse les Charolles: Projet de Réhabilitation du Site

Histoire

fours à chaux de Vendenesse les Charolles restaurés
Les fours à chaux de Vendenesse les Charolles ont été construits en 1870 par la Compagnie de chemin de fer créée par la famille lyonnaise Mangini. L’emplacement des fours a été choisi en fonction de la présence à cet endroit de calcaire du lias facilement exploitable en carrière et de la possibilité de s’approvisionner en charbon provenant des mines de Montceau-les-Mines et de Blanzy.
La chaux produite était directement livrée sur le marché lyonnais grâce à la construction de la ligne de chemin de fer d’intérêt local reliant Paray-le-Monial à Mâcon, via Charolles. Un embranchement permettait de relier directement les fours à la gare de Charolles.
Les fours à chaux de Vendenesse les Charolles changèrent plusieurs fois de propriétaires, et évoluèrent au fil des ans. Une dizaine de personnes y étaient employées et les bonnes années, on pouvait produire plus de 1000 tonnes de chaux.
Néanmoins les conditions de travail rendaient le métier de chaufournier pénible ce qui pouvait avoir de graves conséquencessur la santé.
En 1955 la ligne de chemin de fer fut démantelée et la production s’arrêta en 1961.
Au cours des 90 ans d’exploitation, l’outil de production s’est transformé en fonction de l’évolution technique et technologique et du marché.
Des quatre fours construits initialement, seuls trois subsistent, et la production des dernières années ne reposait plus que sur deux d’entre eux qui avaient été transformés pour en réduire la capacité.
Abandonnées, les installations se sont dégradées sous l’assaut des intempéries et les cheminées envahies par la végétation risquaient de s’effondrer (l’une d’entre elles a été entièrement démontée), menaçant la sécurité des personnes.
Devant la menace de voir disparaître un élément emblématique du village, la population locale s’est mobilisée pour sauver de la ruine les fours à chaux surmontés d’imposantes cheminées de briques qui en font l’originalité. En effet, ces fours sont les seuls de ce type à avoir subsisté.
Vendenesse les Charolles

 

Situation

Au cœur de la Bourgogne du Sud, en Saône-et-Loire, les Fours à Chaux de Vendenesse-les-Charolles (715 habitants) sont situés au fond de la vallée de la Semence, dans un cadre de verdure marqué par le bocage où paît la race charolaise à la robe blanche. A quelques kms de Charolles, cité de Charles le Téméraire, les fours à chaux sont accessibles depuis la N79 (Route Centre-Europe-Atlantique) qui relie Mâcon à Paray-le-Monial.
Bourgogne du sud vendenesseles Charolles

La restauration

Le sauvetage

Fours a chaux avant restauration
Four à chaux
Sauver les fours à chaux de la ruine n’a pas été chose facile, les démarches ont été longues et semées d’embûches. Plusieurs tentatives se sont soldées par des échecs et chaque fois l’idée de raser cet ensemble devenu dangereux progressait.

Sous l’impulsion de la municipalité et d’une association, et avec l’accord du propriétaire, les fours à chaux ont été, après de nombreuses difficultés, inscrits à l’Inventaire Supplémentaire des Monuments Historiques par arrêté du 13 août 1993. Cette inscription n’a malheureusement pas permis d’entreprendre des travaux.

Les fours à chaux ont été enfin classés Monuments Historiques par un arrêté du 16 juin 1998. Cette protection tant attendue a permis de précipiter les choses.
Après la création d’une association locale «l’Association de Sauvegarde des Fours à Chaux de Vendenesse-les-Charolles», déclarée au Journal Officiel du 15 août 1998 et la signature d’une convention de partenariat en date du 8 décembre 1998 entre cette association et la municipalité de Vendenesse-les-Charolles, un bail emphytéotique d’une durée de 50 ans a été signée avec M. Rémy MERLE, propriétaire du site.

Devenue membre de la Fédération Sauvegarde des Monuments de Bourgogne et de ses Sites (SMBS) l’association de Sauvegarde des Fours à Chaux a enfin pu préparer un projet de restauration.
Une étude préalable, réalisée par SMBS et validée par Frédéric DIDIER, Architecte en Chef des Monuments Historiques, a permis d’élaborer un plan d’action.

Un projet de restauration original

Les travaux de restauration programmés sur un an ont été confiés, avec l’accord et sous la conduite de Frédéric DIDIER, A.C.M.H., à un groupe de 16 personnes en situation de R.M.I., embauchées dans le cadre de contrats emploi solidarité entre le 10 mai 1999 et le 9 mai 2000. L’encadrement technique de cette équipe a été confié à SMBS, alors que l’accompagnement psychosocial et la formation revenait à l’organisme de formation TREMPLIN.
Il s’agissait par cette opération d’atteindre deux objectifs :
- mener à bien les travaux de restauration dans les règles de l’art,
- conduire les participants à se réinscrire socialement et professionnellement en utilisant le support confié comme un outil valorisant et dynamique.
Fours à chaux de Vendenesse les charolles en cours de restauration
Taille de pierre à Vendenesse les Charolles
les 3 fours restaurés


Une restauration saluée par tous

 

four à chaux vue sommet
Les fours à chaux de Vendenesse-les-Charolles

Au terme d’une année de travail de restauration, les 3 fours à base circulaire, alignés et protégés par un couvert, complétés par un dispositif de monte-charge et une plate-forme de chargement articulée à l’accès à la carrière, ont retrouvé leur lustre d’antan.

Les choix de la restauration ont conduit à privilégier, en terme de restitution, l’état des fours et de l’équipement productif des années 20. Cela a conduit, d’une part, à conserver la lisibilité des états antérieurs (1871, 1920) et, d’autre part, à gommer les transformations (au demeurant peu nombreuses) opérées par la suite, qui ont souvent été source de désordres structurels.
Nous n’avons pas ici affaire à une oeuvre d’art construite dans les règles, avec un souci de recherche esthétique, mais à un outil de production, sans cesse adapté, sans schéma directeur, en fonction des besoins des hommes au travail.

Quoiqu’il en soit, il s’agit là d’un témoignage essentiel pour comprendre la réalité d’une activité industrielle de type rural des débuts du XXème siècle.
Mais contrairement aux constructions de type artistique qui, une fois restaurées, peuvent se contenter d’un strict entretien, des bâtiments de ce type nécessitent une fonctionnalité qui, seule, peut garantir le maintien de leur état de conservation.

Vendenesse-les-Charolles les fours à chaux face nord Les fours à chaux Vendenesse-les-Charolles
   

Un projet social fort

Fours à chaux en cours de restauration à Vendenesse-les-Charolles
L'équipe de
Parallèlement au projet de restauration, il était également question du devenir des personnes privées d’emploi et confrontées à d’importantes difficultés d’ordre psychologique et social.
La mobilisation des énergies de tous les partenaires institutionnels et sociaux, le travail mené par TREMPLIN pour aider à dépasser les difficultés et les freins personnels, pour faciliter le transfert des compétences professionnelles et pour favoriser la recherche d’emplois, le suivi de la presse régionale et locale, le soutien des entreprises locales, le parrainage mis en place par les membres de l’association des Fours à Chaux ont permis à presque tous les participants de faire des fours à chaux une carte de visite et de trouver des solutions d’avenir.

 

Redonner vie au site


Les travaux de restauration achevés, il est urgent de passer à une phase de refonctionnalisation qui seule peut aujourd’hui garantir le maintien de l’état de conservation du site, et donner un sens au travail effectué.

Dans le cadre du schéma de développement touristique local, la communauté de communes de Charolles a inscrit à son programme la réalisation d’une «voie verte» reliant les fours à chaux à l’ancienne gare de Charolles, empruntant le tracé de la ligne de chemin de fer démantelée. Cette «voie verte» doit elle-même s’articuler à celle qui relie Charolles, Paray-le-Monial et Digoin.

La conception de cette voie verte offre une occasion importante pour attirer un public de promeneurs sur le site des fours à chaux et justifier la nécessité d’aménager le site pour, au delà d’une simple sécurisation qui sera rendue obligatoire, lui redonner toute sa lisibilité et susciter l’imaginaire du visiteur.

 

Une seconde opération d’insertion

La réussite du chantier d’insertion qui a non seulement conduit à la restauration des fours, mais aussi à repositionner sur le marché du travail la quasi totalité des participants, a permis de convaincre les partenaires institutionnels et financiers de poursuivre le travail dans les mêmes conditions.
Une seconde opération d’insertion a débuté le 5 novembre dernier, pour une durée de un an. 16 nouveaux bénéficiaires du R.M.I. sont concernés : recrutés entre Digoin, Paray-le-Monial et Charolles, ils aspirent à un avenir plus sûr, et se sont déjà approprié et investi dans un projet qui les tient à cœur.
Il s’agit, pour eux, à travers le travail réalisé, de reconstruire une identité sociale, de réapprendre à penser leur avenir en termes positifs, d’analyser et de comprendre leurs difficultés pour mieux les dépasser.
Les modes de raisonnement logique, les méthodes mises en œuvre dans l’exécution d’une tâche sont filmés grâce à l’outil vidéo, analysés, et corrigés. Ainsi, progressivement, les compétences professionnelles sont acquises, avant de pouvoir être transférées dans d’autres champs professionnels, donnant ainsi les chances de trouver du travail dans un secteur choisi en fonction de ses aspirations.
Le travail réalisé pour restaurer ces fours, qui appartiennent aujourd’hui aux Monuments Historiques, mais aussi pour les rendre au public, permet un effet miroir prompt à revaloriser une image de soi.
Monument Historique et insertion semblent vouloir faire une paire gagnante.


Un projet pour le site


Achever la restauration

Certains travaux de restauration doivent dans un premier temps être achevés afin de restituer le site dans son état de fonctionnement : ils concernent essentiellement les abords immédiats des fours, les bâtiments annexes, et l’ensemble du mobilier et de l’outillage qui servaient à la production de chaux.

Le programme de travaux de restauration :


· Prolongement du couvert entre les fours N° 2 et N° 3 :
Taille et pose de dés en pierre,
Réalisation de trois poteaux et de trois fermes,
Réalisation de la charpente,
Lattage et couverture en tuiles Saint-Romain-des-Iles.
· Réfection des chemisages intérieurs des fours N° 1, 2, 3 :
Reprise des maçonneries sur la partie sommitale du four N°1,
Reprise du chemisage en briques réfractaires sur les fours N° 2 et 3.
· Restauration de la passerelle d’accès à la plate forme de chargement, installation de la voie de chemin de fer.
· Pose de portes métalliques pour la fermeture des fours N° 2 et 3.
· Réfection du jointoyage du bâtiment de la bluterie.
· Restauration et jointoyage du muret reliant les fours à la « voie verte »
· Dégagement de l’ancien quai de chargement.
· Restauration de l’ensemble du petit mobilier et des outils liés à la production et conservés sur le site qui nécessite un programme de restauration en raison de leur mauvais état de conservation :
La benne de chargement du calcaire dans la carrière,
Le wagonnet de déchargement du calcaire dans les fours,
Les caisses à charbon,
La caisse du monte-charge,
Les seaux et bidons métalliques,
Les brouettes pour le déchargement de la chaux après cuisson,
Les rails,
L’ensemble du petit outillage,
Les grilles des fours,
Etc…
· Aménagement d’un hangar moderne dont la structure métallique et la couverture en tôles ondulées dénature la cohérence du site. Premier élément visible lorsque l’on accède au site par la « voie verte », ce hangar rompt la perpective.
Il s’agira de rabaisser la charpente, d’en changer l’orientation, pour la positionner dans la perspective des fours et de la couvrir en tuiles de Saint-Romain-des-Iles.

 


Mettre en sécurité, viabiliser

L’ouverture au public exige des aménagements pour assurer la sécurité des visiteurs et pour préserver l’intimité du voisinage.
Après l’avis de la commission de sécurité, et l’accord de l’Architecte en Chef des Monuments Historiques, certains aménagements seront réalisés pour faciliter l’accès en toute sécurité au site.
Les travaux suivants sont programmés :
· Aménagement de l’accès par la route,
· Implantation d’un parking en amont du site,
· Installation d’un espace accueil,
· Installation d’un bloc sanitaire,
· Fléchage de l’accès,
· Pose d’une signalétique appropriée,
· Implantation d’accès (escaliers métalliques) au quai de chargement et à la passerelle d’accès à la plate forme,
· Fermeture du site sur les zones mitoyennes,
· Installation de l’eau et de l’électricité,
· Aménagement de l’accès à la « voie verte »,
· Installation de dispositif de sécurité (filets, rembardes, etc…)

Enquêter lien vers: ENQUÊTE PREALABLE POUR LA REHABILIATION DES FOURS A CHAUX DE VENDENESSE-LES-CHAROLLES

Nous avons le souci de donner du sens à notre projet de réhabilitation des Fours à Chaux de Vendenesse-les-Charolles, et nous souhaitons éviter de concevoir un projet qui ne répondrait pas aux attentes des visiteurs, qu’ils soient issus de la population locale, ou de l’extérieur.
Le patrimoine, qu’il soit industriel ou non, se doit d’être réapproprié, se doit d’être compris par ceux qui le vivent.
Pour éviter les écueils, nous réalisons une enquête auprès de la population pour recueillir les avis et les commentaires des futurs utilisateurs et partenaires potentiels du site des fours à Chaux de Vendenesse.
Les résultats de cette enquête nous permettront de concevoir un projet d’aménagement qui répondra aux attentes de ceux qui y viendront et de ceux qui, par différents moyens, inciteront à y venir.
Cette enquête est non seulement un moyen d’identifier les aspirations du plus grand nombre, mais aussi un outil pour déceler les partenaires potentiels qui pourront trouver dans ce site un outil au service de leur projet.

 

Rendre lisible à tous


Quelques soient les résultats de l’enquête et les projets de viabilisation du site, il n’est pas question d’en dénaturer la fonction première.
Les fours à chaux resteront des fours à chaux.
Il est donc important de garder la lisibilité et la compréhension, pour les générations futures, du mode de fonctionnement de cet outil industriel aujourd’hui caduque.
Nous avons le projet de restituer l’outil de production en état de marche. Pour ce faire, un petit front de carrière sera ouvert le long de la « voie verte » à quelques 150 mètres des fours, les modalités d’acheminement du calcaire et du charbon seront montrées, le four N°3 sera rechargé en strates de calcaire et de charbon, et tout l’outillage sera positionné afin que chacun puisse en comprendre l’utilisation.
Quelques panneaux explicatifs viendront compléter le dispositif.
Toutefois, ces aménagements ne s’imposeront pas à l’esprit du visiteur qui pourra laisser libre cours à son imagination.

Concevoir des outils pédagogiques


Pour répondre aux visiteurs qui souhaiteraient approfondir la question nous prévoyons des outils adaptés :

· Une mallette pédagogique :
Principalement destinée à un public scolaire, cette mallette permettra de découvrir non seulement le processus de transformation du calcaire en chaux, mais s’ouvrira à la géologie (à travers l’étude des sols et de la carrière), à la chimie (à travers le procédé de la calcification), à l’histoire (des transports, du monde ouvrier, de l’industrie, etc…), à l’économie.
Ainsi elle pourra intéresser des élèves du primaire à la terminale.

· Une vidéo ou CD-ROM :
Nos recherches nous ont permis de découvrir un chaufournier qui fabrique encore de la chaux selon un mode de production artisanal.
Nous projetons de réaliser un film sur son travail, de manière à conserver la trace d’un savoir faire en voie de dispartion.
Ce document à caractère ethnographique permettra, pour ceux qui le souhaite de compléter la visite des fours qui ne pourront pas être remis en fonctionnement.

· Une visite virtuelle des fours à chaux :
Les relevés opérés avant et pendant les travaux devraient nous permettre de réaliser une animation infographique du site. Cet outil pourrait servir à la promotion de ceux-ci dans les lieux d’accueil du public.

 

Mettre en lumière

La situation des fours, au fond d’une vallée, là où l’on ne s’y attend pas, surprennent le visiteur par leur dimension.
Ce côté dépaysant peut facilement être amplifié par une mise en lumière adaptée du site.
Une étude est en cours de réalisation pour concevoir une mise en lumière qui aurait pour effet d’attirer l’attention, et de plonger le visiteur dans un univers magique.
Cette mise en lumière permettra également de mettre l’accent sur les parties des fours qui resteront inaccessibles au public, et de préparer le visiteur avant même son arrivée sur le site.


Relier à la Voie Verte

La future « voie verte » reliant les fours à chaux à la gare de Charolles doit être intégrée au projet de mise en valeur du site.
Les 200 mètres qui précèdent l’arrivée sur la plate forme des fours seront aménagés de manière à préparer le visiteur à la rupture qui l’attend.
Des aménagements paysagers seront réalisés, la végétation, les structures et le sol seront traités de manière à ce que le promeneur prenne en compte le fait qu’il pénètre un lieu chargé d’histoire.

Par ailleurs, il pourra être envisagé de réhabiliter d’anciennes carrioles pour organiser des visites en famille.

Promouvoir

En lien avec les principaux acteurs du tourisme en Bourgogne (Comité Départemental du Tourisme, Comité Régional du Tourisme, Offices du Tourisme et Syndicats d’initiative, etc…) des outils promotionnels seront réalisés pour promouvoir le site des Fours à Chaux : Affiches, dépliants touristiques, programmes d’activités.
Sur place le visiteur pourra trouver un guide de présentation des fours, des cartes postales et d’autres documents concernant les sites remarquables de la région, et plus particulièrement les autres sites d’industries rurales.
Un programme de manifestations sera élaboré chaque année de la Pentecôte à la Toussaint dans lequel chacun devrait pouvoir s’y retrouver (Fêtes populaires, foires artisanales, etc